Disponible uniquement en magasin ou sur les marchés hebdomadaires. Ouvert les mercredi et jeudi de 17h à 18h30

Adresse : 1 rue des Hauts Lemonde 71460 Cortevaix

Sorbets artisanaux

Bon à savoir :

Nos produits issus de la cueillette sauvage, s’ils ne sont pas encore bio, sont le fruit d’une démarche d’exigence. Nous veillons à ne prélever que des plantes et des fruits sains et protégés, dans le cadre d’une récollection raisonnée et adaptée à la physiologie des plantes ainsi qu’à leur cycle naturel de reproduction. Nous inscrivons notre démarche dans une compréhension des écosystèmes afin de ne pas perturber leur fonctionnement pour profiter pleinement des bienfaits prodigués par la nature sur le long terme.

Conditionnement : 

Bacs de 500 ml, bacs de 2.5 l, cornets de 1 et 2 boules (sur les marchés et en magasin). 

Possible réservation au numéro de contact en pied de page. 

Note : Nos sorbets ne contiennent aucun produit laitier ni stabilisant artificiel. Ils doivent leur qualité à une recette qui met en valeur le fruit pur. Il est de ce fait nécessaire de sortir les bacs de sorbet 15 min avant dégustation pour une texture onctueuse. 

Des boules jaunes pastel qui exhalent un arôme intense, fruité et voluptueux. Un sorbet de caractère, puissant et surprenant, qui présage les veillées de l’Avent. Idéal pour accompagner un spiritueux. À partager devant un bon feu de cheminée en hiver.

Les coings ont été coupés, débarrassés de leur centre et cuits légèrement. La pulpe est ensuite passée au tamis avant d’être placée dans la turbine à glace.

Une innovation complète et l’on sait pourquoi : il faut de la patience et l’amour de l’art pour réunir la matière suffisante !

Un sorbet précieux, raffiné à la texture onctueuse. Une saveur douce, délicate et étonnante.

La cueillette se fait avant les gelées. Chaque fruit doit être décapsulé au couteau afin de retirer les restes de sépales séchées. Les cynorhodons sont ensuite cuits et battus afin de séparer la chair des akènes et des fameux « poils à gratter ». Il faut finalement presser au travers un tamis fin de sorte qu’il ne reste que la pulpe.

L’écologie de ce rosier sauvage est les garennes et les zones de friches. Le fruit porte des noms curieux : poil à gratter, gratte-cul, en espagnol « rose musquée »… il pousse sur l’églantier, parfois appelé « rosier de chien », où l’on retrouve l’origine étymologique de « cynorhodon » en grec. Deux pistes possibles : soit des vertus supposées contre la rage, soit un effet antiparasitaire des fameux poils qui garnissent l’intérieur du fruit !

Un sorbet moelleux, chaleureux, aux accents de chocolat. Le pruneau se marie parfaitement avec un accompagnement de cognac ou d’armagnac.

Viendrait-elle de Damas cette prune bleue, oblongue et délicieuse ? C’est ce que suggèrent les étymologies qui lui collent à la peau et qui ont laissées, derrière son sillage de racine de fruit, de nombreux lieux-dits (daveigne, en davet). Des sens qui convergent vers une origine grecque, « damaskênon », qui signifie la « prune de damas ».